Juste un ? Non :p celui que cette question me rappelle était le moment où j'ai failli me faire botter mon azz par une abeille qui me pesait d'environ cent livres... D'accord, je vais radoter maintenant :) alors je suis allé jusqu'à le bar pour prendre un verre d'eau glacée (parce que j'étais saoul) et quand je revenais à ma table, un perdant était allongé sur une table et m'a dit " viens son bébé, mouille mon visage " alors j'ai dit " d'accord " et je lui ai jeté mon verre d'eau sur le visage ... Il a commencé à s'étouffer sur la glace ... C'était génial :) puis quelques minutes plus tard, une grosse plage est venue vers moi en criant .. " c'était mon petit ami .. Blah bla bla " j'étais bourré alors j'ai pensé que je pouvais la prendre ... je lui ai crié " viens sur toi Fat f * ck laisse aller " puis la prochaine chose que j'ai su un videur m'a attrapé et un autre l'a attrapée ...Elle a fini par être expulsée du bar ... Ensuite, j'ai commencé à trembler et à pleurer parce que j'ai réalisé qu'elle m'aurait cassé le visage ..... Et le courage liquide n'est pas une bonne chose :) de toute façon j'ai fait en sorte qu'un videur me raccompagne à la maison cette nuit parce que j'avais peur... Et je n'ai plus jamais bu de seigle... BAM !
J'en ai eu de mauvaises et une TRÈS mauvaise nuit. Il m'a fallu 3 jours au lit et quelques soins de ma femme pour récupérer.
Quelques fois dans ma jeunesse, je suis allé jusqu'à me promener en état d'ébriété. À une occasion, je suis tombé si malade que j'ai été incapable de garder de la nourriture pendant quelques jours, et à ce jour, environ 52 ans plus tard, je ne peux plus supporter l'odeur ou le goût du rhum et du coca.
Plus que je ne veux bien l'admettre...
J'en suis maintenant au point où je sais comment ne plus boire trop, mais quand j'ai commencé à faire la fête dans des maisons de fraternité, j'en faisais parfois trop. Une nuit, j'ai vomi pendant environ 2 heures pendant que mon meilleur ami essayait de dormir par terre mais continuait à se réveiller à cause de moi -_-
La plupart de mes souvenirs d'ivresse me font sourire sans cesse à cause de leur amusement/drôle. Celui-ci ne l'était pas. C'était certainement le pire aussi parce que d'autres fois j'ai beaucoup bu c'était beaucoup plus tôt dans la journée donc la nuit j'étais déjà sobre et j'ai pu éviter une gueule de bois. Cette nuit-là, tout ce qui aurait pu mal tourner s'est mal passé.
Eh bien, en quelque sorte.
Dans ma vingtaine, j'étais essentiellement un buveur de scotch ; et je savais combien je pouvais avoir sur, disons, une période de 2 heures et ne pas être considérablement affaibli.
Une saison de Noël, ses employés lui avaient donné une bouteille d'un coûteux scotch mélangé et vieilli.
Nous avons décidé un soir d'ouvrir la bouteille. Quelques heures plus tard, après mon deuxième verre, j'ai commencé à me sentir « pas bien ». Au moment où je suis rentré chez moi, j'étais très étourdi et j'ai dû m'asseoir sur une chaise et lire pendant environ une heure (la même page encore et encore si je me souviens bien) avant que tout s'arrête de tourner et que je puisse aller me coucher.
Pas de gueule de bois le lendemain, mais ce fut une expérience très désagréable.
C'était à la mi-décembre et j'ai été incapable de supporter l'odeur de l'alcool pendant environ 6 semaines. (Nous sortions toujours avec des amis le jour de l'An et nous le faisions --- mais je ne buvais que de l'eau.)
Méfiez-vous des congénères complexes. (Un constituant chimique mineur, en particulier celui qui donne un caractère distinctif à un vin ou à une liqueur ou qui est responsable de certains de ses effets physiologiques.)