Sherwood
Parce que Tybalt est un tyran. Acte 2; scène 3, où Benvolio et Mercutio discutent de Roméo et de son amour pour Rosaline, quand Benvolio mentionne Tybalt, Mercutio ne perd pas de temps à le dénigrer, à un Benvolio perplexe qui demande: "Pourquoi, qu'est-ce que Tybalt?" Mercutio prononce alors une condamnation écrasante de lui, se terminant par au moins trois phrases latines aucune d'entre elles élogieuses, auxquelles un Benvolio confus demande: "Le quoi?". Mercutio, « La vérole de ces fantasmes énervés, zozotés, touchants, ces nouveaux accordeurs d'accent ! « Par Jésus, une très bonne lame, un très grand homme, une très bonne putain ! ----- pourquoi serions-nous affligés de ces étranges mouches, de ces marchands de mode, de ces 'pardons', qui se tiennent tellement sur l'ancienne forme qu'ils ne peuvent pas s'asseoir à l'aise sur le vieux banc !"