Discuter : Les criminels sont méchants et méritent d'être punis sur la base du chapitre Les chandeliers de l'évêque ?

2 Réponses


  • En supposant que vous parliez du thème de la criminalité dans le chapitre Les chandeliers de l'évêque dans Les Misérables de Victor Hugo, vous pouvez faire un certain nombre de points concernant l'approche des criminels et des punitions.

    Dans le chapitre, un évêque chrétien pardonne deux fois à un voleur de l'avoir volé.

    Au lieu de le traiter comme le reste de la société, l'évêque essaie d'aider le criminel, ce qui conduit finalement le criminel à se réformer et à accepter la voie de Dieu.

    Voici mes réflexions sur la criminalité et la punition dans ce contexte :

    Punir les criminels sur la base des chandeliers de l'évêque La chose la plus notable dans la manière dont l'évêque traite le criminel est qu'il adopte la même approche que le Christ. Il est patient, indulgent et compréhensif.

    Lorsque le criminel entre pour la première fois dans la maison de l'évêque pour voler de la nourriture, l'évêque s'assure que l'intrus est bien nourri et a un endroit où dormir.

    Néanmoins, le criminel trahit la bonté de l'évêque en volant ses précieux chandeliers.

    Lorsque la police attrape le criminel avec les chandeliers, l'évêque trouve dans son cœur de pardonner au criminel et de lui donner les chandeliers - et c'est cette gentillesse qui réforme le criminel.

    Réformer les prisonniers selon Victor Hugo Cette méthode de « corriger » le mal de quelqu'un est au cœur de l'idée du christianisme - mais c'est tout le contraire de ce que ferait la société.

    Dans l'histoire The Bishop's Candlesticks, le criminel a commencé une vie de crime lorsqu'il a volé de la nourriture pour nourrir sa femme malade.

    Lorsqu'il a été attrapé, il a été condamné à dix ans de prison (un peu dur, je pense !) et a été traité « comme une bête ».

    L'argument avancé par Victor Hugo est le suivant : si vous traitez un homme comme une bête, il le deviendra - ce qui soulève la question : « comment réformons-nous les criminels ?

    Est-ce que les jeter en prison et les traiter comme des animaux va les réformer ? Ou les encouragera-t-il simplement à devenir des criminels à vie ?

    À mon avis, je ne pense pas qu'Hugo dise que les criminels ne devraient pas être punis, mais je pense qu'il essaie de souligner que les gens peuvent être changés par la gentillesse et la bonne volonté.
  • Il n'est pas clair d'après votre question si vous parlez de la courte pièce The Bishop's Candlesticks , ou du chapitre des Misérables de Victor Hugo .

    Lorsque vous savez cela, vous pouvez effectuer une recherche plus détaillée. En attendant, vous pouvez consulter des sites d'étude comme celui - ci , où vous trouverez un aperçu et une discussion plus détaillée de vos textes.

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