Un employé de longue date de l'entreprise pour laquelle vous travaillez n'a pris que 10 $ au début de chaque mois du tiroir-caisse (pour une période de cinq ans) de l'entreprise, mais l'a toujours remboursé à la fin du mois lorsque l'argent a été compté ?

Rien de ce qui précède, vous ne pouvez pas apaiser votre culpabilité d'avoir pris ce qui ne vous appartient pas au départ. Ce n'est pas le travail de l'entreprise d'être votre guichet automatique personnel en raison de vos difficultés financières. Peu importe si cette personne a remis l'argent qu'elle a volé, la confiance a été brisée, et c'est la raison certaine de s'attendre à ce que le supérieur immédiat de cette personne puisse tout à fait perdre son emploi. Vous ne pouvez pas rationaliser cela de toute façon dans la mesure où cela réconforte vos sentiments de sympathie apparents envers cette personne. Mais posez-vous cette question : laisseriez-vous un étranger ou un ami, et même un membre de votre famille, vous voler de l'argent sans votre consentement ou sans que vous en ayez connaissance pendant un certain temps ? Si la réponse est oui, alors vous êtes aussi téméraire que la personne mentionnée ci-dessus !