d'angelo
Il y a une nette différence entre les commérages et les conversations civilisées. Les potins sont définis comme des bavardages généralement faits pour tuer le temps et le plaisir. Il contient des informations avec des détails fantaisistes. Il est basé sur la curiosité de connaître les autres. Par conversation civilisée, l'écrivain entend une conversation utile avec un objectif sérieux. Il doit être formel, bref et raisonnable. Il est destiné à discuter ou à communiquer une affaire sérieuse.
L'écrivain souligne qu'il existe une relation entre les ragots et la conversation civilisée. Mais c'est une relation très faible et distante. Elle appelle les commérages un parent pauvre qui n'est jamais reconnu ou bien accueilli. Il est considéré comme bas et vulgaire et est détesté par les personnes sérieuses et intellectuelles. Parfois, les ragots deviennent le porte-à-faux du rhum et de la calomnie. Ensuite, cela a tendance à nuire à l'intégrité et à la réputation d'autrui.
L'écrivain essaie de défendre les ragots contre ces accusations. Elle dit que le rhum nos propos, calomnies ou diffamations ne peuvent pas être qualifiés de commérages car ceux-ci proviennent de la malveillance, de la jalousie ou de la vengeance. Il doit être léger, intéressant et amusant. L'auteur pense que les commérages sont une activité positive destinée à promouvoir la compréhension. Il transmet des informations utiles sur les personnes et les lieux. Il a toutes les qualités essentielles d'une bonne fiction. L'écrivain aime les potins car c'est un moyen d'échanger des informations utiles entre les membres d'une communauté.