Certains philosophes ont suggéré que le comportement éthique implique des considérations utilitaires - « le plus grand bien pour le plus grand nombre ?

Problèmes ici. Le plus grand bien pour le plus grand nombre peut laisser une minorité non négligeable en très mauvais état. L'utilitarisme est plutôt un vieux chapeau. Le travail intéressant, comme toujours, est effectué par la science. La biologie. L'anthropologie, dans une moindre mesure, mais, au fond, la neurologie, les neurosciences, la biologie comportementale et la biologie évolutive. À la recherche des bases évolutives et neurologiques du comportement éthique et moral.