Marlène
La relation de Jane avec M. Rochester
Dans cet essai, je montre comment Jane et M. Rochester ont atteint le bonheur de différentes manières. Je vais explorer les obstacles qu'ils ont surmontés et comment ils les ont surmontés. De plus, j'explorerai l'évolution de leur relation et comment, au fil des mois, ils se sont rapprochés.
M. Rochester et Jane n'ont jamais été simplement employeur et employé. Leur relation n'a jamais été strictement professionnelle et à partir du moment où ils se sont rencontrés, M. Rochester a toujours été gentil et attentionné envers Jane. Cela est montré par la façon dont il lui parle et comment il agit autour d'elle.
"M. Rochester, assis sur sa chaise recouverte de damas, avait l'air différent de
ce que je l'avais vu auparavant"
Cette relation domine le roman, car elle devient la chose la plus importante dans la vie de Jane. Au début, Jane trouve Rochester plutôt grossier et insensible, mais c'est sa capacité à lui tenir tête qui mérite son amour. Il espère la sécuriser dans un mariage bigame. Bien que le lecteur moderne soit sympathique à Rochester qui a été dupé, dans sa jeunesse, pour épouser un fou, le lecteur du 19ème siècle n'aurait aucun doute sur le fait que Jane fait la bonne chose en le quittant - être sa maîtresse n'est pas une option. Le feu qui le veuf le désactive aussi. Il doit apprendre à dépendre de Jane. Et en tant qu'héritière, elle ne dépend même plus de sa fortune.