L'auteur de "Father, Dear Father" voit une grande différence entre sa mère et sa grand-mère - et cette différence est la comparaison critique à laquelle fait allusion tout au long de la pièce.
Nous apprenons que sa mère est "hautement qualifiée", suggérant qu'elle est bien éduquée, travaille dans une sorte de domaine professionnel et gagne beaucoup d'argent - et pourtant il la décrit comme "très nerveuse, tendue et nerveuse".
Il compare ensuite cet état d'esprit à celui de sa grand-mère semi-alphabétisée qui est satisfaite et heureuse de sa vie : « en paix avec ses casseroles, ses poêles, ses fleurs et son jardin, sa Bhagvad Gita et ses écritures ».
La dernière ligne montre assez clairement ce à quoi l'auteur réfléchit, et quelle différence il voit entre ces deux modèles féminins dans sa vie, et les chemins qu'ils ont empruntés :
« Pensez-vous que l'alphabétisation nous rend agités, effrayés et frustrés ? »
L'auteur essaie d'établir si le travail scolaire et les études ont réellement un impact négatif sur le bien-être de quelqu'un, ou s'il devrait vraiment se concentrer sur les études autant que son père s'y attendrait.