Dans ce poème de Philip Larkin, il suggère que vos parents vous foutent en l'air. C'est un poème très négatif sur la négativité future de gâcher vos enfants parce que vous êtes gâché. Je vais faire une analyse du poème, mais en raison des restrictions de copyright, je ne peux pas le reproduire ici. Je désignerai chaque section comme ligne 1, ligne 2, etc. Si vous souhaitez lire le poème, vous pouvez en trouver une copie ICI.
Ligne 1 : La première ligne suggère que nous sommes foirés par nos parents.
Ligne : 2 : Cette ligne suggère qu'ils ne veulent pas vous gâcher, mais ils le font quand même.
Ligne : 3 : Cette ligne suggère que le poète pense que les parents transmettent leurs défauts à leurs enfants et en ajoutent ensuite quelques-uns pour faire bonne mesure.
Ligne 4 : Le poète suggère dans cette ligne qu'ils ont été foirés par leurs parents, et il fournit un habillage à l'imagerie en discutant des grands-parents un peu plus en profondeur.
Ligne 5 : Dans cette ligne, Larkin poursuit le thème de la transmission de la misère de génération en génération, bien qu'il utilise lui-même l'homme à l'homme. Il la compare à l'approfondissement du plateau côtier.
Ligne 6 : Il suggère que nous quittions cette vie le plus rapidement ou le plus tôt possible et que nous brisions le cycle en n'ayant pas d'enfants à nous.