Ceci est généralement décrit comme une manière abstraite de la façon dont une entreprise convertit ses intrants en extrants. On dit aussi qu'il comprend toutes les combinaisons possibles d'intrants dans une économie donnée. Généralement, en termes mathématiques, cela s'explique comme suit;
Q = f(X1, X2, X3,X4...Xn)
Où Q est la quantité de production et X1, X2, X3....Xn sont les facteurs d'entrée comme (capital, travail, etc.)
La forme linéaire du la fonction ci-dessus serait ;
Q = a + bx (C'est l'équation générale)
Pour simplifier, les économistes divisent l'ensemble du processus en trois étapes différentes et distinctes ;
- Dans la première étape, la sortie variable est utilisée avec une efficacité accrue et avec elle la quantité d'entrées fixes augmente également car ici l'efficacité augmente partout et la courbe sera en pente ascendante. Pour une entreprise qui maximise ses profits, cette étape est très importante. À ce stade, les intrants fixes sont généralement utilisés en dessous de leur débit/quantité effectif. Une entreprise doit donc essayer de dépasser ce stade pour maximiser ses profits
- Le taux moyen d'augmentation de la production diminue lentement et le produit physique marginal diminue. À ce stade, ce qui se passe généralement, c'est que les entreprises essaient d'ajouter de nouvelles entrées variables alors que cela affecte de deux manières. De manière positive, cela affecte la productivité des intrants fixes tandis qu'en raison du nombre accru d'intrants variables, leur productivité diminue. Habituellement, ce que les économistes prétendent que le point d'efficacité de production maximale devrait se situer quelque part à ce stade
- surutilisation des intrants variables et des intrants fixes. La quantité d'intrants fixes et variables est très élevée mais leur capacité de production est faible. Ainsi, l'efficacité de la production diminue tout au long de cette période
Pour une entreprise maximisant ses bénéfices, la phase II est très importante et permet de franchir les barrières de la phase I et de maintenir le statu quo de la phase II. Utiliser une quantité équilibrée d'entrées variables et fixes et s'assurer qu'aucune entrée n'est sur/sous-utilisée.