Chaque fois que je pense à des cavernes ou à des accès souterrains qui vont à qui sait vraiment, cela me rappelle un poème que j'ai lu il y a des années. J'ai cherché ce poème depuis cette époque qui était vers 1979 ou 1980 mais je ne l'ai jamais trouvé jusqu'à présent. Il s'intitulait "Il le Gnome Gilgetti". Je ne suis pas sûr de l'orthographe de Gilgetti mais ça s'est passé comme ça :
Lui le Gnome Gilgetti vivait sous terre dans la surface sombre de la terre profondément dans le sol....
C'était un poème très sombre mais c'était l'apparence comme thème sous-jacent, pour moi c'était que pendant que le gnome vivait sous terre, décrivant tous les insectes et créatures qui rampaient sur lui, se cachant apparemment de la vie au-dessus, il avait envie de venir hors de cette tombe auto-imposée. La vie d'en haut l'intriguait mais l'isolement auquel il s'était habitué était aussi pour lui, une sécurité. Il avait peur de quitter ce trou dans lequel il vivait. Il avait peur que la vie d'en haut le consume dans un sens. Que peut-être il ne s'intégrerait pas et serait rejeté. Alors qu'il semblait effrayant et effrayant, c'était à cause de l'isolement qu'il s'était lui-même placé. Il y avait des insectes et des habitants de la terre qui rampaient sur lui et d'autres objets que la plupart craindraient de toucher et encore moins de les voir vivre sur eux-mêmes, mais cela lui apportait une sécurité.Au lieu de cela, sa peur de la vie inconnue au-dessus de lui faisait de lui un habitant de la terre. Cela le gardait en sécurité, sachant que s'il ne quittait jamais sa tombe pour ainsi dire, il ne serait jamais blessé et la peur que la vie d'en haut lui réservait le protégeait de la vie. La lumière du jour et les ténèbres de la nuit ne faisaient pas partie de son existence car tout le temps était le même, sans changement et cela lui donnait la sécurité. S'il ne bougeait jamais, il ne changerait jamais.