Les rédacteurs en chef décident quoi diffuser à la télévision et quoi imprimer dans les journaux. Selon vous, quels facteurs influencent ces décisions ? Sommes-nous habitués aux mauvaises nouvelles ? Serait-ce mieux si plus de bonnes nouvelles étaient rapportées ?

2 Réponses


  • Il existe de nombreux facteurs liés que les éditeurs doivent prendre en compte pour prendre leurs décisions. Oui, nous sommes habitués aux mauvaises nouvelles. Oui c'est de loin – mieux vaut lire les bonnes nouvelles que les mauvaises
    Les rédacteurs en chef prennent généralement les décisions les plus importantes : quoi, quand, où diffuser une information sur les médias électroniques ou l'imprimer dans les journaux. Le rédacteur en chef doit réfléchir à l'issue de la mise en garde des informations. L'impact de l'actualité dans une société a les avantages ou les inconvénients de l'article ou de la vidéo. L'article complète-t-il l'histoire complète? Est-ce conseillé ? Existe-t-il des types d'écrits ou de vidéos susceptibles d'influencer une personne corrompue ? Y a-t-il une scène dans la vidéo qui fait peur aux téléspectateurs ? L'image jointe aux articles a-t-elle un impact négatif sur la société ? L'avenir sortira des nouvelles,. Réfléchissez-y à deux fois avant qu'un éditeur télédiffuse ou imprime des nouvelles.
    Les mauvaises nouvelles souffrent beaucoup de notre société. Il a un impact important sur nos activités mondiales et sociales. Notre esprit devient somnolent en voyant et en regardant de mauvaises nouvelles. Notre cerveau a été finalisé par l'impact négatif de la nouvelle. Nos enfants deviennent de plus en plus frustrés en regardant ces nouvelles douloureuses et époustouflantes.
    C'est bien mieux si un éditeur télédiffuse ou imprime de bonnes nouvelles à 80% plutôt qu'à 5%. Cela profitera grandement à notre société. Nos enfants devraient être plus proactifs et se sentir plus en sécurité face à leur bel avenir à venir.
    Alors enfin, je supplie les éditeurs de diffuser ou d'imprimer les bonnes nouvelles plutôt que les mauvaises nouvelles.
  • Dans un premier temps le public cible ou les téléspectateurs. Lorsqu'un rédacteur en chef décide quelle histoire sera diffusée ou imprimée, la première chose qui lui vient à l'esprit est la cible des téléspectateurs potentiels. Selon la théorie donnée par la théorie de Westley Maclean sur la communication de masse, les informations passent par plusieurs points de contrôle connus sous le nom de gardiens. Ce terme de gardien est utilisé pour les éditeurs de nouvelles. Si quelqu'un veut manger du riz et que vous lui donnez une pizza, cela ne fonctionnera pas. Vous devez prédire le goût de vos clients et présenter les choses en conséquence.

    Aujourd'hui, les journaux et les chaînes ne sont pas à l'abri de l'influence politique et économique. Certains partis et industriels influencent les médias. Donc, parfois, le rédacteur en chef doit suivre les instructions des opérateurs.  

    En ce qui concerne les bonnes et les mauvaises nouvelles, la popularité est pour les mauvaises nouvelles, car l'éducation aux médias est faible en Inde. Les gens veulent toujours regarder des programmes basés sur des fantômes, des fantasmes et d'autres programmes sans fondement sur le journalisme jaune.

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