Je crois que tu veux dire "renoncer" (ne pas dénoncer), ou renoncer aux droits parentaux. Quand on renonce aux droits parentaux, le lien juridique de la relation parent/enfant est rompu, et le plus souvent cela est fait en vue de permettre l'adoption. L'abandon peut être volontaire ou involontaire. Dans les cas d'actes de négligence ou d'abus, parfois l'abandon est involontaire et il n'est pas en préparation à l'adoption. Que l'adoption soit ou non viable ou prévue dans ces cas, il y a des audiences judiciaires pour établir qu'une ordonnance de dessaisissement est dans l'intérêt supérieur de l'enfant. L'abandon se produit généralement lorsque des plans d'adoption sont élaborés. Les lois varient d'un État à l'autre.
Parfois, cependant, un parent envisage de renoncer à ses droits parentaux lorsqu'aucune action de négligence ou d'abus n'est prise, et même lorsqu'il n'y a pas de beau-parent pour adopter l'enfant. Dans ces cas, les tribunaux sont très prudents, de sorte que les parents ne sont pas encouragés à cesser de s'occuper d'un enfant simplement pour échapper à une obligation financière. Au Nouveau-Mexique, par exemple, si une renonciation proposée aux droits parentaux n'est pas envisagée en vue de l'adoption, le tribunal peut ne pas autoriser la renonciation à moins qu'il ne constate que :
Un motif valable existe ;
Les tribunaux ont déterminé qu'il y avait eu des efforts raisonnables pour préserver la famille; et L'
abandon est dans l'intérêt supérieur de l'enfant.
Il est vrai dans la plupart des États que la renonciation volontaire aux droits parentaux dans ces circonstances (lorsqu'aucune adoption n'a lieu) ne met pas fin à l'obligation du parent renonçant de payer une pension alimentaire pour enfants.
Pour plus d'informations, vous pouvez visiter ce site Web pour voir un exemple d'une telle jurisprudence (NM), et vous référer à la sous-section 22.2
Renonciation volontaire aux droits parentaux