Si la mort est imminente, une intervention médicale peut être nécessaire. Ma propre expérience de la malnutrition m'a donné de la compassion.
J'ai eu la varicelle pour la deuxième fois en tant qu'adulte. J'étais mince (vraiment maigre) au début, et au moment où ça s'est éclairci, j'étais sous-alimenté. Mon corps ne « voulait » plus de nourriture et je pouvais très peu tolérer. C'était étrange et difficile. Je devais me faire manger 2-3 petites bouchées toutes les heures et augmenter progressivement les portions. Je ne peux pas imaginer à quel point cela aurait été plus difficile si mon esprit avait également rejeté le processus.
L'anorexie et la boulimie doivent être mieux comprises pour aider ceux qui souffrent. Je ne connais que le côté physique. J'imagine que le psychologique est encore plus douloureux.
Nous intervenons sur d'autres formes de suicide. Ignorer leur besoin d'aide serait cruel. Des progrès ont été accomplis. J'espère sincèrement que nous en apprendrons davantage, afin que nous puissions aider davantage.
Je ne pouvais pas imaginer qu'une telle action ne rendrait pas la nourriture encore plus alarmante pour ces patients qu'elle ne l'est déjà, même s'il est nécessaire de les maintenir en vie. Cela ne résout certainement pas le problème à long terme. Une consultation ou une thérapie professionnelle sérieuse doit être recherchée.
Oui - si c'est un dernier recours pour parvenir à une sorte de guérison et d'espoir pour la personne anorexique, sa famille et ses amis.