Cora
Le conseil peut être un travail difficile, surtout lorsqu'il s'avère être un processus unilatéral. En général, la personne conseillée nie presque toujours avoir besoin d'aide dans la partie initiale du processus. Mais parfois, avec un patient difficile, c'est toute une tâche d'amener la personne à s'ouvrir.
Pour faire parler le patient, le conseiller doit d'abord utiliser son outil le plus efficace, c'est-à-dire la patience. Si le patient se rend compte à temps que vous êtes réellement intéressé à l'aider, il s'ouvrira progressivement.
Cependant, il y a des moments après avoir révélé un sentiment ou un fait désagréable au sujet de sa vie, le patient retombe dans un silence inconfortable. Le conseiller peut profiter de ce temps pour parler au patient de ses souffrances et lui faire savoir qu'il est là pour l'aider, pas pour le juger.
Willard
Il y a de la valeur dans le silence, ma chère, car le silence est aussi un moyen de communiquer Ce n'est pas toujours le meilleur pour parler, et une oreille attentive permettra sûrement aux choses de suivre un cours naturel afin que lorsque cette chère âme est préparé, ils sauront qu'il y a beaucoup de patience pour écouter.
Kallie
Un conseiller doit travailler avec les informations qu'il a sur le client afin de prendre la décision de rompre ou de laisser le silence se poursuivre pendant une séance. Il ne devrait pas y avoir de règles strictes pour savoir s'il faut ou non briser le silence. Les conseillers doivent faire preuve de créativité en décidant « ce silence est trop long » combien de temps ? Cela dépend du type de client que l'on a, du niveau de maturité, du type de problème/question à résoudre et du discernement des conseillers sur ce que le silence pourrait communiquer.