Comment le vérificateur vérifie-t-il et atteste-t-il de l'argent reçu du débiteur par l'entreprise ?

2 Réponses


  • Les reçus en copie carbone ou les reçus en souche à l'appui des écritures apparaissant sur le reçu du livre de caisse doivent être examinés. La méthode permettant d'accorder la remise à un client contre paiement rapide doit également être étudiée. Toute remise inhabituelle doit être notée et une explication satisfaisante doit être obtenue auprès du fonctionnaire responsable.

    Le contrôle test consistant à retracer le montant reçu selon le livre de caisse dans l'état des comptes reçu du débiteur doit également être effectué. La quantité de travail requise doit être effectuée pour découvrir le processus de chargement et de chargement ou également appelé rodage. Selon cette méthode, lorsque l'argent est reçu d'une partie, aucune entrée n'est faite dans le livre de caisse par le caissier et il en fait un usage personnel.

    A la fin du mois ou de l'année le caissier remplace généralement l'argent qu'il avait jusqu'alors utilisé sans l'autorisation de la direction et crédite le compte du débiteur dont le compte n'a pas été crédité. Afin de mettre un contrôle efficace afin que ladite faute professionnelle soit vérifiée, les mesures suivantes doivent être prises.

    La copie carbone du récépissé ou du récépissé souche, selon le cas, doit être vérifiée avec le bulletin de versement. Une attention particulière doit être accordée au montant en banque qui est le nombre de chèques et le montant correspondant.
  • Différentes méthodes sont utilisées par l'auditeur. La souche ou la copie carbone des reçus doit être vérifiée avec le montant dans le livre de caisse. L'exactitude du montant doit être vérifiée en référence aux accords avec les parties concernant le taux de commission et son droit de réception. Le calcul du montant reçu et la base du travail doivent être vérifiés.

    Le droit à la quittance de la cotisation doit être vérifié avec le règlement intérieur de l'association ou du club. Les abonnements reçus doivent être vérifiés avec le récépissé de souche ou le récépissé de copie carbone avec le registre d'abonné. Tout montant inhabituel de souscription doit faire l'objet d'une enquête.

    Les billets vendus par le courtier doivent être garantis. Le fait que la vente soit ex-dividende doit être soigneusement examiné. Dans le cas de la vente de dividendes, l'élément de revenu au titre du dividende et le montant attribuable aux investissements doivent être désignés. Les procès-verbaux du conseil d'administration doivent également être examinés si les statuts exigent que les ventes d'investissements soient consignées par le conseil d'administration.

    Le montant reçu par rapport à l'effet à recevoir doit être justifié, avec référence au livre des effets à recevoir. Pour les effets qui sont dus pour la réception de l'argent mais dont le montant n'a pas été reçu, les enquêtes doivent être faites contre eux.

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