Claudie
Joseph était opposé à l'éducation gérée par l'Église. Il voulait établir un système d'écoles publiques où les enfants seraient formés pour leur futur travail. Ses objectifs comprenaient un désir pour les Juifs et les protestants de se mêler à la société, il voulait que tout le monde apprenne l'allemand et que les enfants apprennent à être loyaux et obéissants à l'État.
Les garçons étaient encouragés à devenir fonctionnaires, agriculteurs ou soldats. Les filles apprenaient principalement à devenir de bonnes femmes au foyer. Les réformes étaient orientées vers l'ingénierie sociale. La scolarité a été rendue obligatoire pour les enfants en âge d'aller à l'école primaire, avec des amendes pour les parents d'absents. Les écoles primaires enseignent les compétences de base dans la langue locale. Les filles allaient dans des écoles séparées. Les éditions d'État fournissaient de la littérature et du matériel gratuits pour les enfants pauvres. Mais les paysans voulaient que leurs enfants commencent à travailler le plus tôt possible. Au début, il y avait un taux de participation de 30 pour cent, mais selon les normes de l'époque, c'était impressionnant. Il s'agissait des taux de fréquentation et d'alphabétisation les plus élevés des écoles d'Europe.