Chapitre 3 résumé des héros par robert cormier ?

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  • « Heroes », un roman de fiction du célèbre auteur Robert Cormier, est connu pour avoir été inspiré par le débarquement du jour J et la célébration du 50e anniversaire en son nom et tout ce qu'il représentait. On pense que les endroits où Cormier a été élevé ont inspiré des villes et des villes vaguement basées dans le livre et le principal protagoniste central a à peu près le même âge que Cormier quand le jour J s'est produit il y a plus de 60 ans. On suppose donc que ce roman est quelque peu cathartique pour Cormier et révèle ses sentiments intérieurs envers ces jours fatidiques à travers un personnage de fiction.

    • De quoi parle le chapitre trois dans le roman

    Le chapitre s'ouvre sur une comparaison frappante pour exprimer à quel point le personnage se sent désespéré et anonyme à ce stade: "Je me sens comme un espion déguisé alors que je marche dans les rues de Frenchtown." Cela fait également écho à l'image de la mission de François des chapitres précédents, comme si cela jouerait un rôle dans ces prochaines pages. Des références bibliographiques sont faites et fournissent plus de détails sur la personnalité de François.

    Cependant cela peut être vu comme des comparaisons faites à propos de Cormier quand il était à l'âge de François et la manière de l'auteur de s'exprimer à travers l'histoire. On apprend bientôt que François ne mange "que pour survivre", et ce verbe montre très clairement que François sent que tout contrôle a été perdu, ainsi que l'espoir. L'imagerie la plus frappante provient peut-être des rêves de François sur les guerres en France qui s'étendent sur 3 pages.

    Cela va à l'encontre de la représentation conventionnelle de la guerre comme héroïque en décrivant la guerre de manière horrible et inquiétante. Il se compare aux actions des soldats allemands d'une manière si descriptive qu'elle semble réelle. Il remarque qu'une "grenade m'a soufflé le visage", ce qui soulève plus de questions sur ce qui lui est arrivé, mais la seule phrase le laisse sur un cliffhanger. La dernière ligne montre à quel point François se trouve ironique : « Ignorez tout, me dis-je, et comptez vos bénédictions. Cela montre le manque de pitié qu'il a pour lui-même à ce stade et traduit davantage sa détermination dans sa mission.

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