Le mot « pollution » doit être pensé de la même manière que le mot « corruption ». L'introduction de l'indésirable.
(Fraquer les doigts, s'éclaircir la gorge)
Lorsqu'une entité (animale, végétale ou minérale) ou un élément (liquide, solide ou gazeux) est relâché dans un environnement dans lequel il n'a été ni formé ni voulu, la corruption (pollution) de cet environnement est presque inévitable. Nous utilisons le terme « pollution » pour décrire les sous-produits des processus : déchets, fumée, inesthétique, etc. ; mais ce que vous avez vraiment, c'est la corruption matérielle de l'équilibre naturel (ou fonctionnel) de l'environnement.
« Se produisant naturellement » ne signifie pas bénin. Par exemple, l'arsenic, le plomb et l'uranium sont tous présents naturellement, mais en concentration, ils deviennent menaçants pour les organismes vivants.